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Criminal Loft avec Armelle Carbonel

Bonjour Armelle comment allez-vous ?

Je vais très bien, merci !

 

Vous en 4 mots …

Je-suis-une-utopiste (sourire)

 

Parlez-nous de votre livre « Criminal Loft », et pourquoi ce titre d’ailleurs ?

Comme le souligne le titre, nous sommes en présence de huit criminels, choisis pour intégrer un loft dans le cadre d’une émission de téléréalité. L’enjeu ? La vie. Car ces candidats sont temporairement sortis du couloir de la mort pour affronter les caméras. Soumis aux votes du public (concept même du reality show), ces participants devront prouver qu’ils méritent de vivre. Mais le sanatorium de Waverly Hills (décor choisi pour l’émission) semble en avoir décidé autrement… Outre le thème des dérives de tels jeux, je tenais à créer une atmosphère autour de ce lieu, réputé le plus hanté des Etats-Unis.

 

Le livre qui vous a le plus marqué dans votre enfance …

« Carrie » de Stephen King. Je remercie d’ailleurs ces femmes de cœur qui ont éveillé mon intérêt en m’en interdisant la lecture…

 

L’élément déclencheur qui vous a donné envie d’écrire …

Aussi loin que remonte ma mémoire, j’ai toujours eu envie d’écrire. Une sorte d’héritage génétique. Mais le besoin de sonder la psyché humaine est lié à un évènement traumatisant survenu quand j’avais cinq ans.

 

L’écrivain ou l’élément qui vous inspire pour écrire des livres

La musique est une muse des plus fidèles.

 

Le syndrome de la page blanche : connais ou connais pas ?

Connais !

 

Est-ce qu’à votre avis c’est plus dur de se faire une place en littérature quand on est une femme ou pas ?

Il y a soixante ans, je vous aurais dit « oui » ! Mais pas aujourd’hui. Il suffit de constater le nombre de femmes dont les noms figurent en tête de gondole et qui se distinguent par des prix littéraires.

 

La valeur sûre au niveau littéraire actuellement

Mon opinion serait subjective. Il y a autant d’avis sur le sujet que de lecteurs !

 

Le livre que vous avez détesté lire pendant votre adolescence …

Je ne saurais vous le dire, pour la simple raison que je suis venue à la lecture bien plus tard… Très précisément lorsque j’étais agent du patrimoine en bibliothèque.

 

Michel Bussi, Harlan Coben, ou Marcel Pagnol ou aucun des 3  ?

Marcel Pagnol, mais je ne suis pas pressée… !

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Si je vous dis : « lire ressemble à regarder l’horizon. D’abord on ne voit qu’une ligne noire, puis on imagine des mondes », vous me dites ?

Que l’horizon s’ouvre sur l’infini et qu’il bon de s’y promener…

 

Ce que vous êtes entrain de lire en ce moment !

« Le Singe » de… Stephen King !

 

Si vous n’étiez pas écrivain vous seriez …

Malheureuse ! 

 

Que peut-on vous souhaiter aujourd’hui ?

De continuer à prendre du plaisir en racontant des histoires qui me ressemblent.

 

Merci beaucoup Armelle d’avoir répondu à mes questions et belle continuation littéraire.

Merci à vous !

 

Crédit photo : Didier Le Cunff

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