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Du rock et de l'émotion avec Al Stone

Bonjour Al Stone comment allez-vous ?

Salut Stefanie, très bien merci. C’est intensif en ce moment avec mon prochain live au Label Suisse Festival, plus un vidéo clip qu’on est en train de préparer, ça bouge pas mal !

 

La musique c’est avant tout : un besoin une envie ou une passion ?

Les trois en même temps ! J’en fais depuis petit, d’abord du piano, la guitare puis le chant sont venus plus tard. Une passion. Après avec le temps, on pourrait dire que cette passion s’est transformée en une addiction.

 

Si je vous dis chanson française, vous me dites … ?

C’est pas trop mon registre, je n’en joue pas tellement. Mais je ne fais pas pour autant un blocage dessus !

 

Quelles sont vos sources d’inspiration pour l’écriture de vos textes ?

Le voyage, l’aventure, l’évasion, les trips en mode backpacker solitaire, il y a un peu de ça... On pourrait dire que c’est mon fil conducteur, après je m’en éloigne parfois un peu aussi.

 

Est-ce qu’être un artiste est encré en vous depuis tout petit ou c’est venu au fil du temps ?

J’ai toujours aimé faire des spectacles étant enfant déjà, après c’est quelque chose qui s’est développé avec le temps. La musique a toujours été omniprésente dans ma vie, et j’ai toujours aimé partager ça avec des gens, d’où l’envie de faire du show !

 

Studio ou live ?

J’aime beaucoup les deux ! Je mettrais peut-être le live en premier. Il y a plus d’émotions, de par les échanges avec le public, ça délie, ça motive, on peut atteindre des états dingues ! C’est peut-être plus dur de recréer cette même énergie en studio. Après, s’immerger plusieurs jours dans un bon studio pour faire de la musique, c’est que du bonheur !

 

BB King, les Innocents ou Johnny Nash ?

BB King, parce que c’est un guitariste légendaire.

 

Classique, rock, électro, jazz ou manouche ?

Ca dépend de l’humeur, après j’ai quand même des préférences pour le rock au sens large, le manouche, et le jazz on est obligé !

 

Une anecdote scénique avouable bien sûr à nous dévoiler ?

Je ne sais pas… Peut être à l’occasion d’un concert, lors des 30 ans de l’EJMA, où je devais jouer avec le Big Band Romand. Je m’attendais à jouer avec un groupe d’amateurs, alors que je me suis retrouvé entouré d’une vingtaine de pros, les pointures de la région ! Là c’est ton propre groupe qui te donne le trac, pas le public ! C’était une soirée dingue !

 

Avant de monter sur scène c’est hyper zen ou il y a un trac inévitable ?

Plutôt zen, après il y a toujours une petite excitation. Ca peut dépendre du concert et jouer en solo, ça change aussi un peu la donne, comparé à ce que j’ai vécu avec mon groupe auparavant.

 

On vous donne l’occasion de réaliser votre rêve, ce serait lequel ?

Du temps et un budget pour pouvoir composer, enregistrer, et me donner les moyens de tourner dans de bons festivals !

 

Quelle est la personne que vous désirez plus que tout rencontrer dans le monde de la musique ?

Je ne pense pas avoir de préférences. Ca fait toujours plaisir de tomber sur de bons musiciens en backstage pour une bonne bière. Mais si je devais donner des noms, je dirais Steel Panthers, ces types me font vraiment marrer et ils sont bons ! Ou alors Tyler Bryant, ce mec envoie du lourd !

 

Si je viens à un de vos concerts, je dois m’attendre à quoi ?

A la fois un rock, brut, énergique, qui va droit au but, ainsi que des moments acoustiques, blues, dark, forts en émotions. Ajouté à ça, quelques reprises incontournables.

 

En ce moment vous écoutez quoi ?

Kaleo, un groupe Islandais que j’ai découvert la semaine dernière. Du blues qui grince, ça groove !

 

Allez je vous laisse le mot de la fin …

Merci pour cette interview et je vous donne rendez-vous pour mon prochain concert, vendredi 16 septembre au Label Suisse Festival !

A toute !

 

Merci beaucoup Al Stone d’avoir répondu à mes questions, je vous souhaite une belle continuation dans le monde artistique.

Crédit photo : Vincent Schaublin

 

 

 

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