
Rencontre avec Melina fondatrice de Cosmics Jewels
Chaque bijou a une histoire. Laquelle racontez-vous à travers la vôtre ?
C’est l’histoire du monde, de la création, du vivant.
À travers chaque création je souhaite faire honneur à la magie qui nous entoure grâce aux matériaux utilisés.
En effet, les pierres semi-précieuses sont issus d’un long procédé alchimique qui leur donnent leur unicité, leur caractère et leur beauté.
C’est une histoire d’authenticité, d’identité.
Je ne le répète jamais assez sur mon site, l’origine de la vie est une histoire de fréquence et chaque chose existante émet des vibrations.
Nous sommes tout autant fait de ces ingrédients là et notre magie est de pouvoir en prendre conscience et de l’ajuster.
L’histoire de Leti Bijoux pour Cosmics Jewels représente plus que de la simple création de bijoux. C’est le souhait d’offrir à chacun de prendre conscience de sa beauté tant intérieure qu’extérieure et de prendre le pouvoir sur ce que l’on dégage pour soi et dans le monde. Ce ne sont pas de simples bijoux, ce sont des guides qui nous rappellent qui nous sommes, d’où nous venons, le chemin que l’on a parcouru et ce que l’on souhaite vibrer dans notre fréquence. C’est une histoire d’amour qui dépasse les limites du temps et des dimensions.
Entre le moment de l'inspiration et celui où vous vous dites « c’est parfait ! », quel est le plus grand défi ?
Le plus grand défi consiste à associer l’esthétique à la symbolique spirituelle de chacune de ces créations. Elles sont toutes pensées une à une pour être authentique et cela demande réflexion, ajustement, temps.
Tout doit être pensé minutieusement, l’inspiration c’est le guide qui doit passer par la découpe mentale et qui aboutit à la joie, l’amour, la satisfaction.
C’est donc tout autant un processus alchimique qui s’effectue dans la pensée avant de prendre forme.
Pour dégager satisfaction, chaque création doit émettre à la fois lumière, beauté et vibrations qui font sens.
Elles sont les messagères de l’ombre et de la lumière, de ce que l’on voit et de ce que l’on ne voit pas. Ce que l’on sent, ce que l’on ressent, la puissance de « l’Être ».
Si vos bijoux pouvaient parler, que nous diraient-ils sur la femme qui les porte ?
Souviens toi que l’origine de la création est une histoire de fréquence et de magie. Que celle-ci ne cessera jamais de nous surprendre.
Tout concorde parfaitement, rien n’est laissé au hasard, la puissance de cette intelligence fait partie de nous et nous devons nous en nourrir.
Osez briller.
Avez-vous déjà eu un client qui vous a demandé un bijou vraiment insolite ? Si oui, racontez-nous la plus belle ou la plus folle des histoires !
La plus belle des histoires, c’est celle de @_CelineJessica_ qui m’a demandé une création mère / fille.
Céline est médium et elle produit un travail de collaboration à la fois artistique et spirituel avec sa maman. Celles-ci mettent donc en avant ce fort lien d’amour qui les unit au service de la création à travers leur chemin de vie.
Les bijoux ont donc été pensé pour magnifier à la fois leur lien entre elles mais aussi avec le monde et l’objet de ce qu’elles souhaitent transmettre.
C’est un cheminement vraiment inspirant, rempli d’amour, d’espoir, de beauté.
Un bijou peut-il être un lien avec le passé, le présent ou le futur ?
Ils sont en lien avec le grand tout parce qu’ils ont été façonnés selon des conditions bien spécifiques. Un processus alchimique que chaque être vit également à sa manière.
Ils sont donc effectivement en lien avec ces trois temps en même temps car ce n’est qu’une histoire de transformation et de cheminement.
Comme disait Einstein, « rien ne se perd, tout se transforme ». Résumé en 7 mots. Une pensée visionnaire, simple et efficace qui laisse pourtant tant de réflexion et de mystère à la fois.
Tout est là, regardons la chenille devenir papillon, l’étoile devenir poussière, la poussière semancer d’autres planètes, l’organique se décomposer, la terre nourrir la vie …. Etc. Tout est passé, présent et futur à la fois. Une pensée qui laisse à méditer, à réflexion…
Le charme du vivant est là.