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Sophie de Quay and The WaveGuards

Bonjour à tous comment allez-vous ?
Comme avant un saut à l’élastique, un mélange d'excitation, d'adrénaline... et de trouille !

 

Qui est qui et qui fait quoi ?

Sophie de Quay & the WaveGuards, c'est Sophie (chant), Simon (claviers & backing vocals) et Tim (basse & looper). Au sein du groupe nous nous sommes divisé les tâches en fonction des forces de chacun. Sophie est en charge du management, de la communication et de l'écriture des textes. Simon est le directeur musicale, Tim le directeur artistique et ensemble ils composent, produisent et arrangent les morceaux. Mais on reste une démocratie ! Avant chaque décision on réfléchit et on trouve des solutions ensemble. Mais Sophie de Quay & the WaveGuards, c'est aussi notre agente, Chirine, notre parrain Pascal Auberson, et toutes les personnes qui nous entourent, nous soutiennent et travaillent dans l'ombre pour nous aider à réaliser ce défi un peu fou !

Comment est né le groupe Sophie de Quay and The WaveGuards ?

En février 2016, au gala de la Nuit des Neiges de Crans-Montana, Sophie et Simon se produisent ensemble pour la première fois. Après leur prestation, ce dernier lui propose de monter un groupe: elle accepte ! Suite à leur performance, ils ont été retenus pour une tournée au Liban. A leur retour, ils contactent le bassiste suisse Tim Verdesca. Le projet Sophie de Quay & The WaveGuards est né.

Un nouvel EP à votre actif musical, la classe dites-moi ! Pourquoi l’avoir mixé en Belgique et pas ailleurs, ici en Suisse par exemple ?

Tim avait rencontré Lionel Capouillez lors d'un de ses voyages musicaux en Belgique... On ne refuse pas l'opportunité de travailler avec l'ingénieur son attitré de Stromae !

A quand un nouvel album ?

On va déjà sortir notre 1er EP, on te tiendra au courant pour la suite 

Studio, festival, concert intimiste, ou live complètement déchaîné ?

Tous tant qu'on a une proximité et un échange avec notre public.

Sophie t’es la seule fille du groupe. Ils sont sympa les deux autres garçons ? C’est la bonne entente musicale ?

C'est la famille ! On est tous très complices que ce soit sur scène ou autour d'une tomate-mozz et d'un verre de vin rouge.

Les Eurockéennes, Les Vieilles Charues, Le Printemps de Bourges ou Paléo ?

Tous ! On aimerait saisir chaque opportunité de faire découvrir notre musique à un maximum de gens et de voyager le plus possible.

Parlons de la musique en Suisse. Est-ce que personnellement, vous trouvez que vous tous chers artistes que vous êtes, le soutien est là ou pas ?

« rires »

Le bonheur il est où quand comment et avec qui ?

Notre bonheur c'est d'avoir eu des idées folles qui semblaient improbables et irréalisables et de se rendre compte qu'on est en train de les concrétiser. C'est aussi de savoir qu'il y'en aura plein d'autres dans le futur et que les limites ne sont que celles qu'on s'impose.

Une petite anecdote scénique avouable à nous raconter ?

Lors de notre premier concert à Paris qui était d'ailleurs notre premier concert en groupe, une flutiste enthousiaste au regard un poil déjanté et aux cheveux indisciplinés a été démangée par l'envie de nous rejoindre sur scène. Sans scrupule aucun, la musicienne à la flûte enchantée s'est laissée aller à un solo quelque peu hasardeux et interminable. Notre trio est devenu quartet à notre insu. Après le deuxième morceau et les regards compatissants du public, Sophie, armée de son plus beau sourire et de sa diplomatie des grands jours a fait comprendre à notre acolyte qu'elle ne faisait pas partie du spectacle.

Vous avez joué à Paris l’an dernier. C’est plus impressionnant, plus grandiose que chez nous en Suisse ou même pas ?

Ce n'est pas le pays ou la ville qui rend un concert impressionnant mais plutôt le public, l'ambiance et l'âme de l'endroit. Nos concerts à Paris étaient impressionnants car c'était nos premiers concerts en groupe, les premiers du groupe à l'étranger. Nous avions l'adrénaline du voyage, l'enthousiasme et l'émotion de voir naître ce projet. Il est vrai que la ville de Paris est magnifique mais lorsqu'on est sur scène, nous ne faisons pas la distinction entre un endroit ou un autre, l'important est de partager des émotions avec notre public.

Vous avez des rituels avant de monter sur scène ou pas ? Genre un cri de guerre ?

On se fait un hug ! Sophie porte toujours un bijou ou un accessoire qui appartient ou qui lui a été offert par quelqu'un qui compte pour elle et elle envoie un bisou vers le ciel avant de monter sur scène.

Ce qu’on peut vous souhaiter aujourd’hui pour demain ...

Que Sophie, pour le vernissage, se souvienne de tous les textes beaux mais compliqués de Pascal Auberson, que Simon ait une 3e main qui lui pousse pour pouvoir jouer tous les instruments qu'il doit jouer en même temps et que Tim trouve l'amour.

Je vous laisse le mot de la fin
« Pour ce qui est de l'avenir, il ne s'agit pas de le prévoir, mais de le rendre possible. » -St Exupéry

Merci à tous pour cette interview et belle continuation musicale.

 

Crédit photo : Ariane Le Guay

 
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